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« Et si pour ce week-end, nous parlions d'autre chose que de politique ? | Accueil | Sénat : intervention du 17 octobre, en séance, sur la "Protection des données". »

14 octobre 2013

Commentaires

chatel

« C'est ne pas voir pourquoi le feu qui couvait depuis longtemps sous la cendre s'est désormais à ce point attisé, que de penser, comme la légèreté de l'opposition - et parfois de la majorité - le laisse deviner, qu'il suffirait de patienter avant d'en revenir à des jours meilleurs »

Entièrement d’accord. C’est bien l’impression que donnent tous les pays européens, qu’ils soient gouvernés par la droite et/ou par la gauche : « faire le gros dos » et espérer que tout puisse recommencer comme avant, le plus vite possible.

« Ainsi de l'Europe dont les perspectives sont d'autant plus qu'incertaines que le gouvernement, comme l'opposition, ne font rien pour les clarifier. Il faut dire si notre avenir se situe dans le cadre de la zone Euro et si oui à travers quelles réformes de sa gouvernance. »

Absolument. On peut toutefois douter que l’émergence d’une « personnalité forte » à la tête de la Commission européenne soit de nature à résoudre en quoi que ce soit les difficultés auxquelles nous devons faire face. En effet, l’action de la Commission européenne -et c’est heureux- doit respecter les traités. Or les traités européens reposent sur des principes -notamment la concurrence libre et non faussée, autre dénomination de la guerre de tous contre tous- incompatibles avec les valeurs traditionnelles du socialisme.
Par ailleurs, il ne va pas du tout de soi que le rachat de la dette publique par la BCE soit une solution. D’abord, les Allemands y sont opposés au nom de leur intérêt national. Ensuite, le rachat de la dette publique impliquerait une immixtion plus grande encore des instances européennes dans la politique budgétaire des pays membres de la zone euro. Or, il n’est pas du tout certain que les européens y soient prêts, comme le montrent bien les réactions du peuple grec.

Il semble donc bien qu’il convienne de préférer d’autres solutions, ainsi que le suggèrent de façon subliminale les derniers billets de Gaëtan Gorce (« La réussite n'est cependant pas assurée, ce qui supposera d'avoir en tête, en cas d'échec, un autre scénario.... » ; «Il faut dire enfin ce que serait une stratégie de rechange et écarter une fois pour toutes l'argument catastrophiste de "la seule politique possible" qui désespère nos concitoyens et affaiblit notre démocratie ! »). Ce sont ces solutions alternatives qu’il convient maintenant d’explorer. Le temps presse.

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