Coordonnées

  • Permanence parlementaire de Gaëtan Gorce :
    32 rue du commerce Appt. 9 - 58200 COSNE SUR LOIRE _____________________________ Tél : 03 86 26 91 99 _____________________________ Fax : 03 86 26 89 97 _____________________________ Mail : [email protected]

Me suivre sur Twitter

« La gauche et le peuple. | Accueil | Rigueur, relance, Aubry, Hollande... les Socialistes doivent trancher ! Et vite... »

13 octobre 2014

Commentaires

eric

quand un president de gauche qu'on a elu POUR UNE VISION DE GAUCHE fait une politique de droite,VOIR DEXTREME DROITE avec un premier ministre dont la haine des roms des pauvres et autres n'a que faire avec la gauche, on peu se dire hollande roule pour la fille le penn et les patrons.
on s'est fais plus qu'avoir

rene girard

Gaëtan , pour que "la gauche engage une bataille intellectuelle"il faudrait des responsables qui croient à ce qu'ils veulent faire.
Pour la plupart ils ont capitulé, pour d'autres ils ont carrément collaboré avec la banque et le capital comme le firent en leur temps les Alphonse de Châteaubriant ou les Mayol De Lupé devant Hitler, le reconnaissant comme le maître .
Il n'y a plus d'alternative pour s'opposer à cette nouvelle dictature qui est celle du capital et de l'argent, c'est cela qu'il faut inventer avec des gens sincères -ça me fait penser à une réflexion de Louis XVI"il serait bon que l'archevêque de Paris crut en Dieu"et oui là comme ailleurs ça pourrit en premier par la tête.
Nous sommes déjà dans la dictature de la pensée unique avec les dieux entreprises,économies, banques qui ont leur clergé .Cette dictature a gagné elle sera sans doute terrible.
La bataille qu'il aurait fallu mener n'a pas eu lieu les Français sentent confusément cela et ne vous le pardonneront jamais.
girard

chatel

"La relance économique ne pourra venir que d'une relance politique de l'Europe(...)Le blocage qu'on nous oppose outre-Rhin n'est que le revers de notre faiblesse. Pas de notre faiblesse financière (...) mais de notre déficit politique, c'est-à-dire de notre incapacité à imaginer et à dire ce que doit devenir l'Europe."

Cette solution est illusoire car une relance politique ne pourrait que s'accompagner de nouvelles concessions à la doxa libérale. Le prix à payer pour obtenir des autres pays européens une relance politique ou l'indulgence par rapport à notre déficit budgétaire est exactement le même. Dans les deux cas, il nous faut renoncer à la perspective d'une transformation socialiste de la société. A certains égards, la solution de la relance politique est d'ailleurs la pire car elle impliquerait un renoncement définitif à l'idéal socialiste.

La seule solution possible est celle évoquée ensuite, à savoir "reprendre notre liberté budgétaire pour tout ce qui touche aux dépenses d'avenir". Elle nécessiterait d'ailleurs aussi de recouvrer notre pleine souveraineté en matière économique.

Il est plus que temps de reconnaître enfin l'incompatibilité entre les valeurs socialistes et la construction d'une Europe libérale.

"On se réfugie dans le passé chaque fois que le futur parait trop incertain"

Ontologiquement, le futur est, en effet, incertain. Mais il n'apparaît pas tel aux politiques qui sont persuadés au contraire que la construction européenne et la libéralisation de l'économie (qui inclut le risque de la marchandisation de toutes les dimensions de l'existence humaine) représentent l'avenir.

rene girard

C'est bien ça "requalifions la notion de progrès"(si progrès veut dire améliorer la vie des Français et non progresser vers l'ignominie)ça se fera sans doute mais sans vous car vous vous avez donner déjà des échantillons de vos capacités dans ce domaine-je parle du gouvernement et de ses sbires- .
Quant à la deuxième partie du quinquennat vous pourrez bien ramer ou pédaler en suant le mal est fait le charme est rompu cette dernière partie si elle est entière verra la chute et l'oublie de beaucoup , beaucoup d'entre vous.
"Pour établir quelque chose de durable il faut une base fixe;l'avenir nous tourmente et le passé nous retient, voilà pourquoi le présent nous échappe"c'est de Gustave Flaubert.
Je veux bien parier qu'à la fin du temps qui vous est imparti certains voudrons se refaire une virginité socialiste, avec des mots socialistes une mimique socialiste il sera trop tard il est déjà trop tard à moins d'un miracle mais je ne crois pas au miracle.
girard

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.