S’il convient de rester prudent, l’évolution en cours en Birmanie est aujourd’hui plutôt encourageante. S’ils sont tenus, les engagements pris par le Gouvernement de libérer de nouveaux prisonniers politiques (terminologie jusqu’alors rejetée) et de modifier la loi électorale pourraient ouvrir la voie au dialogue et, peut-être, à la réconciliation.
Dans ce contexte, il est plus que jamais nécessaire de soutenir l’effort de Madame Aung San Suu Kyi qui essaie, avec courage et détermination, d’ouvrir de nouvelles portes vers la démocratie.
Communiqué de Gaëtan Gorce, co-rapporteur de la mission en Birmanie de l’Assemblée Nationale
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