Question écrite au ministre des Transports sur les pratiques des sociétés privées d'autoroute lors d'incidents de circulation sur les tronçons concédés

Face aux difficultés rencontrées par de nombreux usagers, j'ai souhaité poser la question suivante :

 

M. Gaëtan Gorce interroge M. le ministre des Transports sur les pratiques des sociétés privées d’autoroute lorsque des incidents de circulation ou des travaux sont réalisés sur les tronçons concédés.

Trop souvent, en effet, ces sociétés s’abstiennent de donner aux usagers une information complète avant qu’ils ne pénètrent sur le réseau, ce qui les conduit à acquitter un plein tarif qui devrait être associé à une certaine fluidité, alors qu’ils vont devoir subir de forts ralentissements, voire de véritables embouteillages.

De très nombreux automobilistes ont effectivement fait l’expérience de situations rendues plus difficiles par l’absence de régulation au péage, l’information sur les incidents éventuels étant généralement communiquée une fois passé celui-ci.

Monsieur Gaëtan Gorce souhaiterait que M. le Ministre des Transports lui précise comment il entend obliger les sociétés d’autoroutes à procéder à une information complète en amont des péages afin de prévenir les automobilistes des risques d’embouteillages en cas d’accident, par exemple, ou à moduler le montant du péage en fonction des conditions réelles de circulation, de sécurité et de délais.

Comments

[Rédigé par : girard rené [email protected]]

Voilà une bonne question, souhaitons que les choses n'en restent pas en l'état et que quand on paie on soit en droit d'exiger des résultats.
Cette question me fait penser à la durée d'attente dans un parc d'attraction en région parisienne , il y a longtemps nous avions pensé faire plaisir aux enfants et pour une activité de 5 ou 10 minutes il y avait une file d'attente de 2h , 2h30, on se serait cru à Moscou au mausolée de Lénine , si bien que la journée à faire le poireau m'a décidé de ne jamais y revenir(soit dit en passant les journalistes et autres thuriféraires qui savent cela n'en parlent jamais)si la carte de presse permet l'entée gratuite ils ne vont pas cracher dans la soupe, mais ils ne font pas leur métier avec honneur.
girard