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27 octobre 2014

Commentaires

rene girard

C'est une manière de voir les choses"sauver son quinquennat"mais c'est le cadet des soucis pour la plupart des Français.Sauver la France malgré Hollande oui!.
Ce "président me fait penser au "pont de la rivière Kwaï" l'excellent film tiré de l'excellent roman de Pierre Boulle; c'est le colonel Nicholson qui perdant de vue que la construction du pont sert l'ennemi fait travailler les officiers les malades par orgueil comme Hollande va brader notre modèle social pour diminuer le chômage.
Encore ce jour le "patron des patrons demande de renoncer aux accords de 1982 -on pourrait licencier un ouvrier , un employé sans avoir à donner de motifs-donc cela faciliterait l'embauche.
Il serait même inutile d'aller aux prudhommes car cela ne servirait à rien!!!
On enverra une lettre d'excuse à Napoléon 1er pour l'informer que après deux siècles de bons et loyaux services c'est devenu inutile!
On pourrait dans la foulée rétablir le droits de cuissage pour inciter les patrons à embaucher -la première nuit que le seigneur pouvait passer avec la jeune marié.
On pourrait aussi payer les chômeurs devenus travailleurs avec un bol de soupe comme le fit Hitler pour construire ses autoroutes et pire encore Staline pour ses canaux .
Quand un "docteur" veut vous soigner de cette façon et que le remède sera pire que le mal il faut le mettre hors circuit .
girard

chatel

"Renoncer à proposer à la zone Euro de franchir une nouvelle étape vers l'intégration, seule manière de résoudre un agrégat désuni de nations de plus en plus égoïstes, sans choisir pour alternative une politique de relance par l'investissement public à l'échelle nationale, cela revient à faire le choix(!) de perdre sur les deux tableaux."

"Renoncer à proposer à la zone Euro de franchir une nouvelle étape vers l'intégration" est une nécessité absolue, car le prix à payer pour cela n'est autre que la liquidation de notre modèle social. Oublions au plus vite cette chimère et concentrons-nous sur l'alternative : "une politique de relance par l'investissement public à l'échelle nationale".

Le principal reproche à faire au gouvernement de Manuel Valls, c'est d'avoir choisi d'accomplir ces fameuses réformes structurelles d'inspiration libérale, que la droite ne cesse de réclamer, et dont nous avions espéré que l'élection de F. Hollande nous préserverait, tout cela dans le but de donner des gages à Bruxelles et de "faire accepter un budget déséquilibré".

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