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Nous vous invitons à participer nombreux à l'Université populaire et participative sur le Travail, ce Mercredi 28 octobre à 18h30 à la Mairie du 4eme arrondissement de Paris. Intitulée "Souffrance au travail,salaires bridés, chômage explosif : les salariés peuvent-ils encore croire en la valeur travail ?", cette université réunira chefs d'entreprises, syndicalistes, chercheurs et journalistes autour notamment de Michel Gollac, sociologue, Yvan du Roy, journaliste, Paul Moreira, journaliste, Yves Perrot, chef d'entreprise (CJD), Hélène Cixous, philosophe, Gaëtan Gorce, député de la Nièvre et de Ségolène Royal.
Vous trouverez en cliquant sur ce lien le programme de cette Université ainsi que des fiches de lecture.
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C'est aujourd'hui que sort Faire la Révolution de l'emploi, un petit essai que j'ai rédigé en partenariat avec les experts du Cercle de l'emploi, que nous publions grâce à la Fondation Jean Jaurès.
Si nous appelons à faire la révolution de l’emploi, c'est parce que le cœur du problème est avant tout culturel. En conséquence, la solution ne peut reposer sur le seul empilement de mesures techniques.Il faut penser différemment, c’est-à-dire penser ensemble les politiques de formation, d’emploi et du travail et considérer leurs financements comme autant de vases communicants qui absorbent aujourd’hui 60 milliards d’euros par an.
Le risque est réel d’emprunter la voie qui mène à une économie déclassée, reposant sur une main-d’oeuvre peu qualifiée, alors que celle qui conduit au contraire à l’économie de la connaissance autour d’emplois à haute valeur ajoutée est encore à portée de main. Mais le temps presse.
Vous pouvez télécharger cet essai sur le site de la Fondation Jean-Jaurès.
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en présence de
Ségolène Royal
débat animé par
Gaëtan Gorce
Mercredi 28 octobre à 18h30
à la Mairie du IVè arrondissement,
2 Place Baudoyer - Paris 4ème
Depuis le mois de janvier 2008, 25 salariés de l’entreprise France Télécom se sont donnés la mort.
Mardi 20 octobre 2009, les salariés de Pôle emploi se sont mis en grève. Surcharge de travail
avec l'afflux massif de demandeurs d'emploi depuis le début de la
crise, effectifs insuffisants, fusion à marche forcée, formations trop
courtes pour devenir polyvalents, management par objectifs,
sous-traitance au privé figuraient parmi les motifs de mécontentement
exprimés. Un suicide et cinq tentatives de suicides sur le lieu de
travail ont été reconnus par la direction, selon les syndicats. Selon
le directeur général de Pôle emploi, "Il ne faut pas assimiler ce qui
se passe à France Télécom à Pôle emploi". Jugeant les difficultés liées
à la crise, Laurent Wauquiez, secrétaire d’Etat à l’Emploi, et Xavier
Darcos, Ministre du Travail lui emboîtent le pas. . Chômage, insécurité
professionnelle, fermeture de sites en masse : Gooodyear, New Fabris,
Molex, Arcelor Mittal, Continental, la liste est longue. Un
questionnaire pour « évaluer l’état psychologiques des salariés » a
pourtant été distribué au personnel de Pôle Emploi. Comme à France
Télécom.
La souffrance au travail n’est pas un thème réellement nouveau. Elle se manifeste différemment selon les classes sociales, les catégories professionnelles et les époques. Il semble cependant qu’aujourd’hui, les logiques féroces du capitalisme ultra-libéral et financier jouent un rôle non négligeable dans l’amplification de ce mal-être social.
Quelle est l’influence des nouvelles méthodes de management sur l’efficacité et le bien-être des salariés ? Quel arbitrage peut-on faire entre le partage du travail et l’antienne électorale du « travailler plus pour gagner plus » ? La valeur travail demeure-t-elle une donnée fondamentale de nos sociétés contemporaines ? Voici quelques unes des thématiques que nous aborderons au cours de ce débat.
Nous vous y attendons nombreux
L'équipe de Désirs d'avenir Paris
PROGRAMME
Ouverture par Ségolène Royal
Débat avec les intervenants :
- Ivan Du Roy, journaliste et écrivain, auteur du livre: Orange stressé, le management par le stress à France Telecom, Ed. La Découverte, 2009
- Michel Gollac, sociologue du travail, Centre de recherche en économie et statistique (CREST), auteur (avec Christian Baudelot) du livreTravailler pour être heureux ? Le bonheur et le travail en France, Fayard 2003
- Paul Moreira, auteur (avec Hubert Prolongeau) du livre:Travailler à en mourir , Ed. Flammarion, 2009
- Yves Perrot, chef d'entreprise, Président du Centre des jeunes dirigeants Paris
Ainsi que des responsables syndicaux
Conclusion de Gaëtan Gorce, Député socialiste de la NièvreRédigé par Gaëtan Gorce | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
PARIS, 21 oct 2009 (AFP) - En pleine polémique sur les fils et filles de... (Jean Sarkozy, Marie Bové..), un lapsus de Christine Lagarde, qui a affublé Louis Giscard d'Estaing du prénom de son père, Valéry, a provoqué mardi l'hilarité générale dans l'hémicycle du Palais-Bourbon.
"Monsieur Louis Valéry Giscard D'Estaing...", a lancé la ministre de l'Economie, avant de se reprendre, provoquant des rires puis des fous-rires sur tous les bancs de l'Assemblée.
Le lapsus intervient alors que dans les couloirs du Palais-Bourbon, les critiques fusent sur la future accession de Jean Sarkozy, fils cadet du chef de l'Etat, à la tête de l'Epad (La Défense) ou de celui de Marie Bové, fille de José, pour conduire la liste écologiste aux régionales en Aquitaine.
Sans se départir de son sang froid, la ministre a poursuivi, imperturbable, sa réponse sur le fonds stratégique d'investissement.
Mais alors qu'elle achevait son intervention, elle a à nouveau trébuché en s'adressant cette fois à "Olivier Giscard d'Estaing", ce qui a entraîné une nouvelle vague de fous rires. Le seul Olivier, fils de... siégeant sur les bancs de l'Assemblée est Olivier Dassault, fils de Serge.
Alors qu'elle regagnait son siège, plusieurs ministres ont tapoté affectueusement l'épaule de la ministre, qui a aussitôt envoyé un petit mot d'excuses à... Louis Giscard d'Estaing.
Ce dernier, rompu aux comparaisons avec son illustre père, a pris l'habitude d'en plaisanter. "Lui, c'est lui et moi, c'est Louis", a-t-il déjà lancé.
L'orateur suivant, Gaëtan Gorce (PS), a aussitôt rebondi sur le lapsus de la ministre: "Je vais essayer à la différence de Mme Lagarde de ne pas faire de confusion entre les prénoms... encore que s'agissant du sujet dont je veux parler on pourrait s'y perdre" a-t-il ironisé, avant d'interroger le gouvernement sur l'accession de Jean Sarkozy à la tête de l'Epad.
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Monsieur le Premier ministre,
La nomination de Jean Sarkozy à la présidence de l'établissement public de La Défense, nous apporte chaque semaine son lot de questions nouvelles. Répondant à mon interpellation, le porte-parole du gouvernement, a reconnu ce week-end qu'il pourrait bien y avoir un conflit d'intérêt entre l'élection de Jean Sarkozy et la participation au vote des représentants de l'État.
Nous avons appris également, que M. Hervé Marseille, dont la démission de l'EPAD a libéré la place que va occuper M. Sarkozy, avait été nommé, dans la foulée, au Conseil économique et social. Au point de laisser penser que le Président de la République aurait ainsi usé de ses pouvoirs de nomination pour faciliter indirectement la promotion d'un membre de sa famille.Rédigé par Gaëtan Gorce | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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