Coordonnées

  • Permanence parlementaire de Gaëtan Gorce :
    32 rue du commerce Appt. 9 - 58200 COSNE SUR LOIRE _____________________________ Tél : 03 86 26 91 99 _____________________________ Fax : 03 86 26 89 97 _____________________________ Mail : [email protected]

Me suivre sur Twitter

« Compétitivité gouvernementale ? | Accueil | Réponse à Gérard Grunberg - Télos du 6/11 »

09 novembre 2012

Commentaires

girard

Vouloir garantir un minimum de revenu aux médecins ne va pas dans le bon sens.
Il fut un temps oû les commissaires priseurs avaient une caisse commune alimentée par la moitié de leurs revenus ce qui permettait une implantation nationale, en effet on ne vend pas la même chose à
Drouot qu'à Montluçon ou Guéret , le chiffre d'affaire n'est non plus pas le même.
Cette caisse permettait donc d'assurer un revenu à tous.
Il doit en être ainsi des médecins, ce n'est pas aux contribuables de payer à cause d'une mauvaise organisation de la profession , car demain pourquoi ne pas compléter le revenu des pompistes-la aussi il y a désert-
Quand je vois des chirurgiens ou dentistes dans les rues, vu le revenu qu'ils ont, je pense qu'ils se déconsidèrent un peu plus .
On prend moins de gants avec la "piétaille" il est temps de remettre ces gens à leurs places.
girard

girard rené

Je pense qu'il est nécessaire de mettre le conseil de l'ordre des médecins en face de ses responsabilités ;en effet parmi ses nombreux pouvoirs il a une fonction exécutive qui consiste à gérer les autorisations d'installations des médecins dans les départements.
Je tiens à rappeler que la suppression de l'ordre figurait ,en 1981, dans les 110 propositions de François Mitterrand pour"offense à la démocratie".
girard

Maurice CARDOT

Monsieur, je vous suis reconnaissant d'être le premier parlementaire à vraiment s'émouvoir du problème de désertification médicale. Votre rôle de parlementaire est vraiment un poste mérité Bien à vous Maurice CARDOT

girard rené

Voila un amendement qui va dans le bons sens, il est grand temps de réagir .
Si dans notre pays la moyenne est de 290 médecins pour 100 0000 habitants on peut noter qu'il y a:
375 médecins pour 100 000 habitants en Provence Cote d'Azur
742 médecins pour 100 000 habitants à Paris
et donc beaucoup de zones déficitaires.
Les médecins qu'ils le reconnaissent ou non sont en quelques sortes en partie des fonctionnaires, on peut légitimement s'interroger sur ce que serait leur profession sans la sécurité sociale: en resterai -t-il 1 sur 2 ou 1 sur 3?je sais bien que de tels propos peuvent les faire bondir , mais considérer la profession comme entièrement libérale relève de la fiction.
Les mesures pour les attirer en certaines provinces, qui sont des cadeaux de communes ou de régions se sont révélées inefficaces , ils sont en surplus dans le sud et surtout en bordure de mer.
Un exemple doit être pris dans la répartition harmonieuse des pharmacies une pour 3000 habitants environ, cela fait 70 ans que ce système fonctionne.
girard

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.