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14 novembre 2012

Commentaires

Pierre Pichère

Le militant éco-socialiste rosit de plaisir devant cette analyse, qui confirme que, contrairement à d'autres, les positions que tu as défendues durant ce Congrès n'étaient pas d'opportunité, mais de conviction. Tout le monde au PS parle de développement durable, comme s'il suffisait d'installer des Vélib et de mettre du bio dans les cantines des ministères pour transformer radicalement la société.
C'est bien à l'articulation entre l'écologique et le social que le PS va devoir s'atteler, non pas pour de seules raisons de calcul électoral, mais parce que la crise sociale appelle à une mobilisation sans précédent contre le chômage et la pauvreté, et que la croissance telle que nous l'avons pratiquée ne créera pas suffisamment d'emplois. L'issue, la seule issue à la crise économique, c'est d'entrer dans un modèle de long terme, qui refuse la spéculation et l'exploitation de la Terre, de ses ressources et de ses habitants.
Mais comment arriver à porter le débat dans un Parti si sûr de son fait et si fermé aux idées nouvelles ?

girard rené

Je pense aussi que la sociale- démocratie n 'est plus une réponse au monde présent.La question qui se pose à mon sens n'est ni d'inventer un nouveau modèle ni de nous inscrire dans un "autre moment"mais et c'est beaucoup plus cruel de vivre avec un boulet au pied, comme un bagnard , ce boulet c'est la dette et ses intérêts .
Sans cette dette nous pourrions avoir un avenir de peuple libre avec cette dette nous n'avons que l'apparence de la liberté.
Que l'on ne vienne pas me dire que nous allons rembourser, non , non , nous pouvons seulement essayer de payer les intérêts années après années , donc nous sommes condamnés à ne faire que cela et rien d'autres, c'est le déclin assuré mais les marchés rassurés .
Si par bonheur une "divine surprise" permettait qu'il en soit autrement et même sans attendre cela nous devrions penser et agir pour que cela n'arrive jamais plus, ayons conscience que aucun ennemi n'a franchi notre frontière , nous n'avons pas d'occupant sur notre territoire et pourtant nous sommes sous le joug.
Faire défaut au remboursement , le remède serait peut être pire que le mal et les Français, je ,tu ,ils ne sont pas prêts nous ne somme plus qu'un vieux peuple sur le déclin, un vieux beau .
Je pense tenir là un langage de vérité , très pessimiste je l'avoue mais au combien réaliste.
girard rené

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